« L’institut des revendications utopiques » (l’IdRu) est à la frontière entre le laboratoire de recherches utopiques, l'institut de sondage fantaisiste, le coaching inutile et le collectif artistique. Il utilise tous les médias : aussi bien les arts visuels que  l’écriture, la danse, les happenings, la musique, la production de micro-revues ou de notices poétiques. il pourrait appartenir au mouvement fluxus car il partage ces concepts et sa philosophie. "L'IdRu" permet à la presque compagnie de questionner plus frontalement et radicalement le statut de l'œuvre d'art, le rôle de l'artiste et la place de l'art dans la société. Il veut supprimer l'idée d'un art qui se donne à voir et met plutôt en avant l'idée d'un art qui s'expérimente, se vit, avec un public responsable et actif.

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